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JPFParis20

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14 juin 2006

Le MPF à l'abordage!

permanence_lellouche

LE MPF DANS L’ESPACE PARISIEN

Le Mouvement pour la France à investi ces jours derniers plusieurs arrondissements de Paris.

Le 29 Mai, date anniversaire de la victoire du NON à la Constitution Européenne, de nombreuses affiches furent collées dans le 9ème.

La PHOTO montre, une action symbolique faite sur la permanence du très médiatisé Pierre Lellouche député UMP du 9ème   ,Conseiller de Jacques Chirac et président de l’assemblée parlementaire de l’OTAN.

Personnage ambitieux connu pour soutenir les idées de Nicolas Sarkozy, tout en étant favorable à l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne !.( Journal La Tribune du 16 Décembre 2004 )

Le MPF ne s'est pas trompé de cible !

HESUS

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7 février 2006

Bientôt les collages!

af02_2006_patriotisme

7 février 2006

LE MONDE 06.02.06 Christiane Chombeau

Philippe de Villiers s'en prend à l'"islamisation rampante"


L'islamisation de la France" sera, selon Philippe de Villiers, au centre de la campagne de l'élection présidentielle de 2007. Le président du Mouvement pour la France (MPF) entend bien prendre la tête de ce combat-là. Devant Jean-Marie Le Pen, qui a fait prospérer le Front national en dénonçant "l'immigration-invasion".
Devant quelque 150 cadres de son parti réunis, samedi 4 février, en conseil national, à Paris, M. de Villiers a dénoncé "l'islamisation rampante" de la France. "Notre slogan pour 2007 sera "la France est de retour", et notre ligne, "le patriotisme populaire". Un patriotisme qui consiste à reconstruire une identité française par une immigration zéro", a-t-il annoncé.
Selon l'eurodéputé et président du conseil général de Vendée, "l'unité nationale et la défense de la République" passent par "l'arrêt de l'islamisation de la France". "L'islam est le terreau des islamistes",
affirme-t-il, or chez ces derniers, poursuit-il, "la liberté est tempérée par le meurtre rituel, l'intimidation, le chantage, la menace". Dès lors, martèle-t-il, il faut trancher : "C'est la République ou la charia mais pas
les deux". Et M. de Villiers d'avertir : "Un étranger qui vient en France ne vit pas comme chez lui. Il vit comme chez nous. C'est cela la francisation !".
Comme le président du FN, dont il brigue l'électorat, Philippe de Villiers s'est dit, samedi, "le représentant de la majorité silencieuse", "l'homme du hors système. Celui des Français, aujourd'hui majoritaires, qui ont décroché et n'acceptent plus les préconisations du système UMPS (UMP-PS) qui s'effondre sur lui-même, reproduit les mêmes échecs, parce qu'il reproduit les mêmes hommes avec les mêmes poisons : le mondialisme, l'immigrationisme, le communautarisme, le socialisme".
Le ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy, à qui M. de Villiers reproche de faire "du communautarisme" par le biais de "la discrimination positive", "du droit de vote des étrangers" et du "financement des mosquées", n'a pas trouvé grâce à ses yeux.
Partisan de "l'immigration zéro", il s'oppose à "l'immigration choisie" préconisée par M. Sarkozy. C'est sous les applaudissements que le président du MPF a lancé : "La France, nous le croyons, est une nation. Elle ne peut pas être la juxtaposition de communautés ethniques ou religieuses".

7 février 2006

Communiqué MPF

COMMUNIQUE

Le projet de loi de Nicolas Sarkozy sur l’immigration constitue un projet politique irresponsable et dangereux car il ajoute à une immigration de peuplement une immigration économique : les 3 millions de chômeurs français apprécieront.

La France n’a plus les moyens d¹accueillir une nouvelle vague d’immigration. Or, le projet Sarkozy consiste à faire venir encore davantage d’immigrés et à piller les « forces-vives » des pays pauvres. Les pays pauvres n’ont pas besoin d¹une nouvelle « traite des cerveaux », mais d¹aide à l’enracinement.

La France n'a pas besoin d’immigration choisie, mais d'immigration zéro. Philippe de Villiers propose une grande loi d’orientation autour des trois principes suivants :

- rétablissement des contrôles aux frontières, seul moyen de stopper les flux migratoires

- fin du regroupement familial, et de l’acquisition automatique de la nationalité française

- grande politique de co-développement avec les pays du Sud, à l¹image du partenariat Vendée-Bénin, pour enraciner les élites africaines chez elles.

7 février 2006

Villiers, le candidat "hors système" (Le Figaro 06/02/2006)

En 2007, Villiers entend incarner une candidature «hors système»

Philippe de Villiers, qui a réuni samedi à Paris le conseil national du MPF, fera campagne en 2007 au nom de «la majorité silencieuse».

Sophie Huet [06 février 2006]

Un nouveau logo, un nouveau site internet (www.pourlafrance.fr), un tract-programme diffusé à un million d'exemplaires... Entré en campagne pour l'élection présidentielle de 2007, Philippe de Villiers a assuré samedi à Paris, en clôture du conseil national du Mouvement pour la France, que le MPF allait devenir «un grand mouvement politique» représentant «la majorité silencieuse», celle qui ne veut plus du «système UM-PS» (UMP et PS). «Je suis l'homme du hors système, c'est-à-dire de tous les Français aujourd'hui majoritaires qui ont décroché et qui n'acceptent plus les préconisations du système UM-PS qui s'effondre sur lui-même et qui reproduit les mêmes échecs», a lancé Philippe de Villiers, qui se veut le défenseur du «patriotisme populaire».

En présence des nouveaux cadres locaux du Mouvement pour la France – quelques anciens RPR, CNI, ou UDF, un chevènementiste, et plusieurs ex-responsables du FN, dont Jacques Bompard, maire d'Orange, et Gérard Freulet, ancien député FN, le président du MPF a égratigné, sans le citer, Jean-Marie Le Pen. Philippe de Villiers ne se contentera pas d'être «un homme de la protestation», car «nous avons la volonté de porter nos idées au pouvoir».


Dans un discours-programme, Philippe de Villiers a dénoncé les «poisons idéologiques qui gangrènent la classe politique», citant «l'immigrationnisme», «l'européisme», «le communautarisme» et «le socialisme».

Le champion de la lutte contre «l'islamisation rampante»

Insistant sur la nécessité de restaurer «l'identité française par une politique d'immigration zéro», le président du MPF s'est dit «en désaccord total» avec le ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, qui préconise une «immigration choisie et non subie» et qui veut, selon Philippe de Villiers, «couvrir le territoire national de mosquées» !

Candidat à l'Elysée, l'élu vendéen se fera le champion de la lutte contre «l'islamisation rampante». Et de marteler : «Un étranger qui vient en France ne vit pas comme chez lui, il vit comme chez nous, c'est la francisation.» Au passage, Philippe de Villiers a déploré le retrait de l'article 4 de la loi «portant reconnaissance de la nation envers les rapatriés», et qualifié Jacques Chirac de «champion du monde de la repentance».

Déplorant l'offre de rachat d'Arcelor par le groupe Mittal, ou la délocalisation du groupe électroménager SEB, Villiers a attaqué le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, qui avait affirmé à l'Assemblée que la France se prenait pour le «malade imaginaire». «Le malade imaginaire, c'est quelqu'un qui a été licencié le matin chez SEB ? Merci, monsieur Barroso !»

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1 février 2006

Villiers regrette que traiter Mahomet d'"imposteur" soit "un délit"

PARIS, 1 fév 2006 (AFP) - Philippe de Villiers, président du Mouvement pour la France, a regretté mercredi que dire "que Mahomet est un imposteur (soit) un délit", alors que "dire Bouddha, Jésus sont des imposteurs est une opinion".

Interrogé sur Canal+ à propos de la polémique autour de la publication au Danemark de caricatures de Mahomet, il a estimé qu'"on doit pouvoir en France briser le tabou et pouvoir parler des religions, et notamment de l'islam".

"La liberté du culte est essentielle, dans l'islam, il n'y a pas la liberté de changer de religion", a dit encore le député européen, pour qui "c'est ou l'islam ou la République".

Il a affirmé enfin qu'"il faut stopper l'islamisation de la société française", demandant de "ne plus accorder d'horaires séparés dans les piscines", ni de "nourriture spéciale dans les cantines", de même qu'il faut, selon lui, "dire non aux mariages forcés" et "à la polygamie".

1 février 2006

CPE : "mieux que pas d'emploi du tout" pour Philippe de Villiers

PARIS, 1 fév 2006 (AFP) - Philippe de Villiers, président du Mouvement pour la France, a estimé mercredi à propos du Contrat première embauche (CPE) qu'"il vaut mieux un emploi précaire que pas d'emploi du tout".
Cependant, "si on veut demain une société d'emploi, d'embauche généralisée de tous les jeunes et des moins jeunes, il faut faire tout autre chose,c'est la baisse des charges", a dit encore M. de Villiers sur Canal+.
"Nos entreprises, notamment nos PME, courent avec des semelles de plomb, alors que nos concurrents courent avec des semelles de vent", a-t-il ajouté.

31 janvier 2006

On air

Philippe de VILLIERS sera l'invité du journal de CANAL PLUS le mercredi 1er février à 7 h 40. Et c'est en clair alors...profitez en!

18 janvier 2006

Quand Charlie Hebdo est d'accord avec d'autres

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Le procès de Philippe de Villiers, président du Mouvement pour la France (MPF), prévu jeudi à Bobigny devrait être reporté. Par ailleurs, la Mosquée de Lyon a souhaité s'associer à la plainte du MRAP pour "provocation à la discrimination nationale, raciale et religieuse".
"Nous avons voulu nous joindre à cette initiative du Mrap (Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples) pour montrer que l'on ne peut impunément insulter toute une communauté en la traitant d'islamiste", a expliqué le recteur de Lyon, Kamel Kabtane.
La date de l'audience qui jugera Philippe de Villiers devrait être fixée jeudi, a confirmé une source judiciaire.
Le président du MPF est poursuivi pour ses propos tenus le 16 juillet 2005 sur TF1 sur "l'islamisation progressive de la société française".

Il avait déclaré à l'antenne : "Nous savons que la troisième guerre mondiale est déclarée (...) nous ne pouvons pas continuer à assister impuissants à l'islamisation progressive de la société française", en préconisant de "créer une garde nationale" pour "rétablir les frontières", "investir les quartiers islamistes", "contrôler les mosquées".

D'ici à ce que certains lui reprochent d'éternuer...

16 janvier 2006

Hommage à Jacques Faizant

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16 janvier 2006

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16 janvier 2006

Le chômage n'est pas une fatalité

Les annonces faites par le Premier Ministre pour stimuler l'emploi des jeunes sont une fois de plus, des "mesures poudre aux yeux" qui repoussent le problème au lendemain de la présidentielle.

En effet, que ce soit les allègements provisoires de charges ou les contrats temporaires, il s'agit toujours d'emplois subventionnés par l'Etat pour unedurée limitée.

Philippe de Villiers propose tout au contraire un grand plan d'orientation pour l'emploi des jeunes autour des principes suivants :

- Fin du collège unique et mise à l'honneur de l'apprentissage et des formations en alternance. Seules mesures capables de satisfaire les 200 000 offres d'emplois non pourvues.

- Un plan drastique et définitif de baisse des charges en réformant l'impôt sur les sociétés et la taxe professionnelle.

- La fin des flux migratoires : comment peut-on prétendre offrir du travail à tous les jeunes français alors que l'on accueille chaque année 317 000 étrangers

16 janvier 2006

Sarko l'arnaque

sharkozzyPhilippe de Villiers s'élève contre la proposition profondément anti-démocratique, présentée par Nicolas Sarkozy lors de ses voeux, consistant à refaire voter la partie la plus importante de la Constitution Européenne par le Parlement juste après la présidentielle de 2007.

Nicolas Sarkozy révèle ainsi son vrai visage : il appartient aux élites technocratiques qui rejettent la volonté populaire et le verdict des urnes.

En effet, 55% des Français avaient voté Non lors du référendum, quand dans le même temps 92% des Parlementaires avaient voté Oui.

Les 15 millions d'électeurs ayant voté Non peuvent compter sur la détermination sans faille de Philippe de Villiers pour faire respecter la décision souveraine des Français, que Nicolas Sarkozy a décidé de mépriser.
En 2007, Sarkozy sera le porte- parole des élites et Villiers le porte-parole du peuple.

11 janvier 2006

Le vote d'espoir

no_futurePARIS, 11 jan 2006 (AFP) - Le président du Mouvement pour la France Philippe de Villiers a indiqué mercredi vouloir proposer "un vote d'espoir" aux Français alors que, selon lui, le vote pour Jean-Marie Le Pen est "un vote de désespoir".
"Le vote Villiers est un vote d'espoir, alors que le vote Le Pen est un vote de désespoir", a déclaré M. de Villiers, candidat à la présidentielle de 2007, lors de ses voeux à la presse. Il a affirmé que M. Le Pen avait
"prouvé qu'il ne voulait pas le pouvoir".
"Moi je suis un professionnel de l'action, lui est un professionnel de la protestation", a ajouté M. de Villiers.
Le président du MPF a défendu l'idée d'un "patriotisme populaire", face à l'échec du "système UMPS" et des politiques "mondialistes" et "communautaristes".
"Un pays qui n'est plus capable de maîtriser sa dette, d'assurer son ordre public, dans lequel les gens ont peur de prendre le train (...) qui fête Trafalgar plutôt qu'Austerlitz (...) est un pays qui sort de l'histoire", a
estimé M. de Villiers.
"Un pays qui se laisse islamiser sans qu'aucune autorité n'ose hausser la voix (...) est un pays qui ne se commande plus et ne compte plus au regard du monde ", a-t-il déclaré.
M. de Villiers a estimé qu'il fallait "libérer la France de la pieuvre de Bruxelles", et s'est prononcée pour une grande politique "d'immigration tarie".
Pour cela, il faut "rétablir les frontières" du pays, "mettre fin au regroupement familial", "modifier le droit du sol" pour introduire notamment la notion de "mérite", et "donner un seul droit aux sans-papiers, le billet de retour", car "il n'est pas normal que les déboutés du droit d'asile restent sur le territoire", a-t-il déclaré.
Le président du MPF a fustigé les idées du ministre de l'Intérieur et président de l'UMP Nicolas Sarkozy en faveur d'une réforme de la loi de 1905 sur la laïcité, ou en faveur d'une immigration choisie, une "traite des
cerveaux" préjudiciable aux pays en développement.
Le MPF, qui souhaite pouvoir être présent dans les 577 circonscriptions aux prochaines législatives, tiendra son conseil national le 4 février à Paris, a annoncé M. de Villiers.
"Nous sommes un mouvement qui s'élargit, avec 16.500 membres au 1er janvier", a-t-il affirmé. "Le 4 février, vous verrez que beaucoup de têtes nouvelles nous ont rejoints", a-t-il ajouté.
Le MPF a enregistré des ralliements d'anciens membres du Front national, mais aussi de l'UMP ou de chevènementistes, selon M. de Villiers.
Après le ralliement du maire d'Orange fin novembre de Jacques Bompard, transfuge du Front national, le MPF a ainsi accueilli deux ex-responsables locaux du FN en Haute-Marne, un ancien conseiller régional FN de la Manche, ainsi qu'un ex-candidat chevènementiste aux législatives de 2002 dans les Yvelines, a précisé le secrétaire général du MPF Guillaume Peltier.

8 janvier 2006

(biographie de Philippe de Villiers) Philippe Le

(biographie de Philippe de Villiers)

Philippe Le Jolis de Villiers de Saintignon, dit Philippe de Villiers, est un homme politique français, né le 25 mars 1949 à Boulogne (Vendée).

Son père, Jacques de Villiers (1913-2000), était un colonel lorrain, compagnon d’armes de Jean de Lattre de Tassigny, fait prisonnier en 1940, avec tentatives d’évasion et tortures infligées par les nazis. C’est pour rejoindre le général de Lattre que les Villiers se sont installés en Vendée après la Libération.

Philippe de Villiers est marié et père de sept enfants. Elève de l’ENA de 1976 à 1978, il intègre ensuite le corps préfectoral. En 1981, le lendemain de la victoire de François Mitterrand aux élections présidentielles de 1981, il démissionne de l'administration, seul haut fonctionnaire à montrer ainsi son refus de servir le nouveau pouvoir élu.

Président du Mouvement pour la France (MPF), parti politique de droite et souverainiste, il est l'auteur et le metteur en scène du spectacle du Puy du Fou (plus grand show son et lumiere en France) où tous les vendredis et samedis soir d'été des bénévoles retracent l'histoire de la Vendée et du château du Puy du Fou. On y voit notamment des scènes du conflit vendéen lors de la Révolution française. Le spectacle est un immense succès populaire et accueille plus d’un million de spectateurs par an.

En 1986, Philippe de Villiers est secrétaire d'État à la communication dans le Gouvernement Jacques Chirac. Il en démissionne un an plus tard suite à un désaccord avec son ministre de tutelle, François Léotard.

En 1988, en compagnie de Charles Millon, il soutient la campagne présidentielle du candidat UDF Raymond Barre.

En octobre 1988, Philippe de Villiers est élu à la présidence du Conseil général de Vendée.

En 1990, il mène le combat contre la corruption et le financement occulte des partis politiques. Il prendra une part active dans la révélation de l' affaire Urba.

En 1994, il mène une ligne souverainiste aux élections européennes et récolte 12 % des suffrages. Il démissionne en 1997 pour se présenter aux élections législatives.

En 1995, Philippe de Villiers est candidat aux élections présidentielles et obtient 4,7 % des voix, n'ayant ainsi pas droit au remboursement de ses frais de campagne. Il doit alors solliciter des contributions financières par une campagne de publicité télévisée pour rembourser ses importantes dettes de campagne. Il appelle à voter Chirac au deuxième tour pour faire obstacle au candidat de gauche.

En 1998, il fait partout liste commune avec le RPR.

En 1999, il est élu député européen sur la liste de Charles Pasqua, mais ne siège que cinq mois au Parlement européen pour revenir devant les électeurs aux élections législatives.

Le 30 juin 2001, il crée les Jeunes pour la France (JPF)

En février 2002, il annonce qu'il ne sera pas candidat aux élections présidentielles d'avril 2002, officiellement pour ne pas "ajouter la division à la division", en réalité à cause des dettes de 1995 et de la difficulté de trouver les 500 parrainages requis, suite à la scission avec Charles Pasqua qui ne les réunit pas non plus. Il appelle à voter Chirac au deuxième tour.

De 2002 à 2004, Philippe de Villiers est de nouveau député de Vendée et siège à l'Assemblée nationale parmi les non-inscrits.

En juin 2004, il est élu député européen dans la circonscription interrégionale Ouest, où il obtient 12,36 % des voix.

En 2005, lors de la campagne référendaire sur le Traité établissant une Constitution pour l'Europe, Philippe de Villiers est un des meneurs du « non » souverainiste à droite en compagnie du député européen Paul-Marie Coûteaux, de l’UMP Christine Boutin et du député UMP gaulliste, Nicolas Dupont-Aignan. Philippe de Villiers plaide pour une autre Europe "l'Europe des Nations".

Il mène la campagne en définissant avec son directeur de campagne Guillaume Peltier les thèmes qui sont ensuite repris par l'ensemble du pays semaine après semaine, et le 29 mai 2005, Philippe de Villiers est un des vainqueurs du référendum.

Le 11 septembre 2005, il est le premier à annoncer officiellement sa candidature à l'élection présidentielle de 2007, lors de son discours de clôture de l'université d'été de Grasse dans les Alpes-Maritimes. Il se veut candidat du 'patriotisme populaire' contre 'l'islamisation progressive de la France'. Avec ce discours, il espère marginaliser un Jean-Marie Le Pen vieillissant tout en en s'accaparant une partie de son capital électoral.

Philippe de Villiers a annoncé le 3 novembre 2005 à l'occasion d'une série d'émeutes en région parisienne qu'il allait créer avec Jacques Bompard, maire de la ville d'Orange (Vaucluse), le "collectif national des élus de la République contre le droit de vote des étrangers", ouvert à "tous les patriotes".

Mandats électifs

  • Conseil général de la Vendée :

06/07/1987 - 02/10/1988 : conseiller général

03/10/1988 - 27/03/1994 : président du Conseil général

28/03/1994 - 22/03/1998 : président du Conseil général

27/03/1998 - 18/03/2001 : président du Conseil général

depuis mars 2001 : président du Conseil général

  • Député à l'Assemblée nationale :

02/06/1987 - 14/05/1988 : député UDF de la Vendée

06/06/1988 - 01/04/1993 : député UDF de la Vendée

02/04/1993 - 24/10/1994 : député UDF de la Vendée

01/06/1997 - 18/06/2002 : député non-inscrit de la Vendée

09/06/2002 - 20/07/2004 : député non-inscrit de la 4e circonscription de la Vendée (doit renoncer à son siège pour cumul de mandats)

  • Député au Parlement européen :

19/07/1994 - 16/06/1997 : député européen (démission)

20/07/1999 - 16/12/1999 : député européen (démission)

depuis juin 2004 : député européen

  • Fonctions gouvernementales

20/03/1986 - 26/06/1987 : secrétaire d'État auprès de François Léotard, ministre de la Culture et de la Communication au sein du Gouvernement Jacques Chirac.

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